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lalinde louyre
2 janvier 2011

Résumé des épisodes précédents

La vie du canton lindois a longtemps été dominée pendant plus de vingt ans par les personnalités de Michel Gargamel et André Popeye.

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gargamelMembre du Parti Socialiste puis au Mouvement des Citoyens, Michel Gargamel apparaît dans le Lindois en 1979 pour conquérir le Conseil Général. Il le perd en 1992 au profit de Philippe Dudreuilh et le reconquiert de 1998 à 2004.

L'année suivante, il est élu député de la 2ème circonscription (Bergerac) lors de l'élection partielle provoquée par l'élection de Michel Manet au Sénat. Il est reconduit à l'Assemblée Nationale en 1981, perd Bergerac au profit d'Elie Marty pendant le court intervalle 1986-1988, retrouve le poste de 1988 à 1993, le re-perd au profit de Daniel Garrigue de 1993 à 1997, le reprend de 1997 à 2002 et le cède enfin à nouveau à Daniel Garrigue.

Il est l'élément moteur de la constitution, dès 1998 du Pays du Grand Bergeracois. Il en prend la présidence en 2001.

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popeyeAndré Popeye est un homme à poigne. Elu maire (sans étiquette, mais proche de la droite) de Mauzac en 1971, il fusionne sa commune à celle de Grand-Castang et garde les rênes de la mairie jusqu'en 2007.

Il crée en 1989 le mouvement Chasse, Pêche, Nature et Tradition (CPNT) qu'il préside et qu'il engage dans les élections européennes de 1989 et 1994 où il obtient sensiblement le même score (4 %), puis dans les régionales de 2004, le CPNT ne gagne aucun siège.

Il prend en main les destinées du canal de Lalinde en créant en 1992 un Syndicat Intercommunal dont il prend la présidence.   La fin de carrière de André Popeye est pourrie par une obscure affaire de détournement de fonds de la Fédération de Chasse de la Dordogne vers le CPNT. L'enquête commence en 1998 pour aboutir à un procès en février 2004 (les élections régionales ont lieu en mars !).

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Le nouveau siècle amène bien des changements dans l'est du Bergeracois.

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Commentaires
M
Selon le vieil adage la réécriture de l’histoire relève souvent d’interprétations propres à leurs auteurs. Nous n’échappons à ce constat en découvrant la présentation caricaturale des réflexions qui ont précédé la création de la « Communauté de Communes entre Dordogne et Louyre » et du « Bassin Lindois ». L’obstacle majeur reposait sur l’importance de la représentation de chaque commune, au sein de la future communauté du Lindois. L’obstination de Pierre Brunel, manager général du projet, qui voulait une représentation communale essentiellement basée sur le nombre d’habitants, fût à l’origine de la méfiance des maires des coteaux qui voyaient poindre le risque de prise en main sans partage de Lalinde avec l’appui d’une quelconque autre commune, assurant ainsi la majorité absolue (pour mémoire dans les syndicats intercommunaux, quelle que soit l’importance de la commune, chacune d’elles est représentée par 2 délégués, souhait des maires des coteaux pour éviter tout risque d’hégémonie de la ville chef lieu du canton). Telle fût l’erreur de Pierre Brunel avec la complicité chargée d’arrières pensées de Michel Gargamel et de ses hommes de l’ombre. <br /> André Popeye certes fût le porte-parole actif des maires des coteaux, convaincant la sous-préfecture de l’incorporation de la commune de Saint-Capraise (sans grande objection de Coco-le-Mou) qui assurait l’indispensable continuité territoriale avec Saint-Agne et Verdon chère à Serge-oui-oui. Le peu d’empressement pour la création d’une communauté de communes pour les maires de Baneuil , Saint-Capraise et Mauzac ne reposait pas seulement sur des arrières pensées déjà longuement exprimées caricaturalement, mais par la perte financière pour chacune d’elles qui résultait de la mise en commun de la défunte taxe professionnelle (TPU) générée par EDF et Polyrey.<br /> Avec le recul du temps on comprend mieux les réserves du maire de Mauzac élu averti qui a siégé en qualité de conseiller Régional de 1992 à 2004 et de Vice-Président du conseil régional d’Aquitaine de 1992 à 1998. Ayant déjà doté sa commune des équipements et services susceptibles d’être créés par la communauté, quels avantages pouvait-il en retirer, sinon des charges nouvelles inhérentes à de telles collectivités (frais de secrétariat, chargé de mission, indemnités des élus, etc..) ?<br /> Nous pensons qu’il ne faut pas accabler le Président de la CCEDL Philippe Averell (qui oublie peut être sa fonction de maire-adjoint de Saint Félix de Villadeix, commune du refus au pays Lindois). Sa marge d’initiatives est restreinte, salarié de la Chambre d’Agriculture il ne peut décemment que faire siennes celles de son sous-directeur et conseiller général Serge oui-oui : regroupement CCBL et CCEDL et même au-delà, etc.... veille des cantonales oblige pour Serge oui-oui lorsque l’on est renouvelable.<br /> Le canal de Lalinde dont la présidence a échappé en 2008 à un représentant du canton de Lalinde après l’intermède de l’inactif Coco-le-Mou en 2007, s’endort. Les travaux de restauration de l’escalier d’écluses, de la cale de Tuilières sont en panne.....en fin stratège de l’ombre Capitaine Frédéric, profitant de cette léthargie, essaye de faire prendre en charge par le syndicat du canal le remplacement des 2 passerelles propriété de sa commune, lesquelles confinent la gabare dans le bassin de Saint-Capraise. André Popeye (rétabli dans ses droits électoraux par un arrêt du 11 juin 2010 du Conseil Constitutionnel) qui a conduit avec succès et détermination pendant plus d’une décennie la réhabilitation de l’ouvrage doit s’interroger sur cet immobilisme, il y à de quoi, alors que les financements deviendront de plus en plus difficiles dans un proche avenir.
C
Le C.I.A.S. (Centre Intercommunal d'Action Sociale), successeur du B.A.S. (Bureau d'Aide Sociale) en 1995 a été créé en 1956, en même temps qu'une trentaine d'autres dans le département, à l'initiative du Préfet Rolland.<br /> Première intercommunalité, regroupant 13 communes du canton, excepté Cause-de-Clérans qui ne l'a rejoint officiellement qu'un quart de siècle plus tard, tout en bénéficiant de son organisation !<br /> Le premier président en fut Arthur Gonthier, avec ou sans h, maire de St-Capraise-de-Lalinde, par un accord avec Marcel Ventenat, maire de Lalinde et conseiller général.<br /> C'est par un accord entre Bernard Gouzot, maire de Lalinde, et Michel Suchod, conseiller général, que ce dernier en prit la présidence en 1978.<br /> J'en fus le premier salarié recruté à 3.000 F brut par mois en 1980.<br /> J'ai sûrement fait mon travail puisque les Lindois me font encore remarqué que : "De votre temps, M. Germinal, c'était mieux." Certains allant même jusqu'à dire : "J'ai jamais vu ça, c'est devenu catastrophique !" avec les exemples à la clé.<br /> Le C.I.A.S. tel qu'il est depuis mars 2002 est l'oeuvre exclusive des deux tandem Suchod-Carissan jusqu'en 2006 et Mérillou-Carissan jusqu'à ce jour. Dont acte.<br /> Je ne reviendrai pas sur ce qui ne fonctionne pas ou qui fonctionne mal car c'est le leit-motiv de la critique populaire cantonale, qui n'a l'air, du reste, de ne pas du tout intéresser les élus du canton que j'ai tous battus en Cour Administrative d'Appel à Bordeaux l'an passé.<br /> Je veux seulement vous écrire ici les 2 principaux problèmes de cette structure d'aide aux personnes en difficulté(s), quelles qu'elles soient.<br /> Après la municipale effroyable de 2001 à Bergerac où Suchod atteint le plus mauvais score historique de la gauche dans cette commune, j'ai reçu une lettre au C.I.A.S. de quelques candidats battus de cette liste sur laquelle se trouvait Denis Carissan, pour lui trouver un travail sur Lalinde. C'est vrai qu'alors il ne s'entendait plus avec la directrice de la Mission Locale qui s'occupait des jeunes jusqu'à la veille de leur 26 ans. On me proposait "qu'il remplace la titulaire de l'emploi à l'E.E.E. (Espace Economie Emploi) de Lalinde". Rien que ça, faire virer quelqu'un, et de quel droit... du Droit Bergeracois. Evidemment je n'en ai rien fait, et il semble qu'on m'en ait voulu puisque moins d'un an plus tard j'étais remercié de façon cavalière et il était embauché de la même façon, sous prétexte qu'il ôûterait moins cher au C.I.A.S. En moins de 8 ans, ses émoluments ont augmenté de près de 50%. Voilà son arrivée, pour le reste je me garderai bien de m'en mêler tant que je n'aurai pas la disponibilité nécessaire. Je remarque simplement qu'en toute chose Serge Mérillou fait la même chose que Suchod, l'intelligence en moins dit-on de plus en plus dans le canton.<br /> Le deuxième problème découle du premier. Mérillou a eu les yeux plus grand que le ventre et a décidé de se désengager de la gestion du personnel ! Outre que dans les collectivités il n'y a qu'un chef du personnel, le maire ou le président, on peut découvrir que M. Serge en a ras la casquette de s'occuper des problèmes quotidient d'un service dont personne ne l'a obligé à se porter à la présidence. Et le Dauphin de s'exclamer : "Mais il n'y avait personne !"<br /> Il a donc décider de promouvoir dans le cadre des "désignés" son vice-président d'avant rescapé de sa déculottée aux municipales à Mauzac en 2008. Il faut le faire. Battu par le suffrage universel, l'énarque-ancien-directeur-régional-de-La-Poste-à-la-sécurité vient de se voir confié la responsabilité du personnel. Du jamais vu. J'ai eu le malheur de m'entretenir il y a quelques années de ces affaires avec lui et il n'avait trouvé à me dire que : "Le problème c'est que les aides-ménagères sont trop payées". <br /> Faut-il donc que Serge Mérillou soit au fond du trou et revendique son échec à la présidence du C.I.A.S. ? "J'assume" comme il aime à dire à la cantonade.<br /> Voilà donc les leaders que le canton s'offre, et voilà pourquoi rien ne se fera de mieux qu'avant, excepté la plongée directe dans la caisse du conseil général pour doter le canton des infra-structures que des élus "responsables" auraient dû envisager depuis des lustres.<br /> Vous savez tous maintenant pourquoi ils sont là. Pour leur pomme.<br /> C'était ma quatrième vérité.<br /> Claude Germinal.<br /> <br /> P.S. : Vous pouvez animer la réflexion en répondant à mes commentaires, pour ma part, je n'ai pas le net d'un moment. Bonne année 2011.
J
Si l'on comprend bien, il faut deviner quel serait le duo actuel... Rectifions d'abord le duo-duel des années d'après la 1ère crise économique de l'après guerre : il s'agissait plutôt de Grandes-Gamelles et de Bernard-de-la-Lynde en lieu et place de Dédé-la-Castagne appelé ici Popeye.<br /> Avons-nous gagné au change ?<br /> Chacun peut avoir son avis et le donner, mais tout le monde sait et dit que si l'on compare Mémé-la-Carrière-Assouvie et Grandes-Gamelles, il n'y a pas photo, tant sur le plan de la prestance que de l'intelligence, quant au pont de Lalinde à 1,8 million d'euros, rien à voir avec celui de Bergerac-Ouest à 8 millions d'euros, sans parler des délais entre l'idée et sa réalisation...<br /> Bernard-de-la-Lynde, seigneur incontesté pendant 24 années, s'est vu débarquer par Pépé-le-Corso-Fleuri, et là aussi que disent les Lindois : demandez leur et vous serez édifié.<br /> Le nouveau duo sans duel est celui formé par Mémé-la-Carrière-Assouvie et Pépé-le-Corso-Fleuri. C'est le P.S. imperator comme jamais cette douce et riante cité n'eut à en subir de toute son histoire vieille de 7 siècles !<br /> Demandez aux Lindois ce qu'ils pensent de cet attelage et vous serez édifié. On les rencontre partout, jusqu'à Brageirac et même au-delà.<br /> Osez voguer sans gabarre entre les Deux Rives de l'Est et songer à une vie meilleure car ils n'y seront pour rien.
J
D'abord Gar-gamelles est arrivé en notre Belle Province comme suite au décès de Marcel Ventenat, maire et conseiller général du Lindois Canton et de sadite ville qui n'est en fait qu'une commune, car Linda seule est bien seule avec ses 1.500 habitants.<br /> C'était en l'année 1976... et non 1979 comme l'indique imprudemment l'auteur du site qui fait jaser tout le landerneau lindois et sa paire de Rives !<br /> Prétendre que Gar-gamelles aurait été un moteur constitutionnel, voilà encore une hérésie toute bienveillante, car en fait de moteur il était plutôt un destructeur et pour ce qui est de la constitution de quoi que ce soit, c'est raté ! Il vient d'être nommé au Conseil d'Etat après s'être fait jeté comme un malpropre par le Divin Sarkozizi de son fauteuil marquise de conseiller spécial auprès de Jean-Marie Bobo, ancien appendice de la justice républicaine et ci-devant président de la Cabine Téléphonique dite de la Gauche Moderne !<br /> Quant à Dédé denommé Popeye, ça fait quelques lustres déjà que les muscles ont fondu de ses biceps de pacotille et qu'il ne joue plus aucun rôle dans ce canton.<br /> Le duo-duel était constitué de Bernard-de-la-Lynde et de Michou Le Bourgeois-Gaucho, l'un descendant auto-proclamé-direct de Jean-de-la Lynde, fondateur de la Bastide au XIIIème siècle et l'autre thuriféraire du Grand-Soir-Socialiste-Pourvu-Qu'il Ne-Nuise-Pas-A-Mes-Intérêts-Perso...
N
Tiens, tiens, tiens, voilà du nouveau!!!<br /> et Ça roule pour qui??? ...
lalinde louyre
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